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 Presse : L’IVT, théâtre promoteur de la langue des signes, est menacé
 L’IVT, théâtre promoteur de la langue des signes, est menacé

Directrice de l’International Visual Theatre (IVT), Emmanuelle Laborit dénonce le manque d’intérêt de l’État pour la culture des sourds


« La disparition de l’ International visual theatre (IVT) marquerait l’arrêt de toute évolution de la langue des signes. Notre mission est d’utilité publique. À l’État et aux collectivités de prendre leurs responsabilités ! » Souriante, mais en colère, Emmanuelle Laborit ne mâche pas ses mots.

La comédienne sourde, petite-fille du professeur Henri Laborit, révélation des Molières en 1993, dirige depuis quatre ans l’International Visual Theatre ( IVT). Cette association, fondée en 1976 et logée depuis 2007 dans l’ancien Théâtre du Grand Guignol, cité Chaptal, dans le IXe arrondissement de Paris, par la Ville et l’État, s’est donnée pour mission de défendre et promouvoir la culture des sourds, proposant, en même temps que des créations théâtrales, des ateliers, des stages. Le tout accompagné d’édition de livres, d’un premier dictionnaire de la langue des signes.
40 000 spectateurs depuis les débuts l’inauguration du théâtre

De fait, depuis l’inauguration du théâtre, plus d’une vingtaine de spectacles ont été programmés (dont onze créations « maison ») totalisant plus de 400 représentations. Une quarantaine de milliers de spectateurs se sont rendus au moins une fois dans sa salle, assurant un taux de remplissage de 60 à 90 %. Et près d’un millier de personnes se sont inscrites à ses cours de langue des signes.

Le bilan n’est pas mince. « Mais, déplore Emmanuelle Laborit, il risque bientôt de s’écrire au passé. » Sous-évaluées dés l’origine, les subventions ne permettent plus à l’IVT de fonctionner correctement… si jamais elles l’ont autorisé. « Pour 2011, les aides s’élèvent 250 000 € pour l’État, via la Direction régionale des affaires culturelles, 176 000 € pour la Ville de Paris et 75 000 € pour la Région ».

La somme peut paraître coquette pour une compagnie, mais elle ne saurait suffire à faire vivre une structure comme l’IVT, dont le budget avoisine 1,4 million d’euros. À l’association de combler le manque (soit plus de 50 % du budget) en puisant sur ses ressources propres, alors qu’elle traîne une dette datant des travaux de rénovation du théâtre. Si, à l’époque, les collectivités ont pris en charge ce chantier – qui a duré 4 ans au lieu de 2 –, l’IVT s’est vu contraint de participer à hauteur de 400 000 € au lieu des… 50 000 prévus.
Haut lieu de la langue des signes

« On peut tenter de réduire les dépenses, reprend Emmanuelle Laborit. Mais à un moment, cela ne marche plus. » En quatre ans, elle a multiplié les démarches et demandes auprès du ministère de la Culture en vue d’une réévaluation des subventions. Aboutissant parfois à des rencontres. Le plus souvent sans réponses. On a renvoyé la comédienne vers d’autres ministères (santé, solidarité…).

Chacun l’écoutant avec attention, mais sans donner d’autre suite qu’une subvention exceptionnelle. Comme une bonne action que l’on ferait. Sans prendre véritablement en compte la dimension exceptionnelle de l’IVT, non pas simple théâtre mais véritable institut, centre culturel comme il n’en existe aucun en France. Un haut lieu de la langue des signes – « une vraie langue, très belle, très esthétique, glisse Emmanuelle Laborit. Une langue qui vit dans l’espace, dans le mouvement ». Avant de conclure : « À l’État de prendre ses responsabilités. ».

IVT, 7 cité Chaptal, à Paris. Rens. : 01.53.16.18.18.

DIDIER MÉREUZE
http://www.la-croix.com
2011/09/20 14:24 - BB - Version imprimable 

 Presse : La langue des signes adoptée au lycée Picasso de Bron
 La langue des signes adoptée au lycée Picasso de Bron

Handicap. Eric Dinée a fait sa rentrée au collège Picasso, en tant que professeur principal. Sa classe compte seulement trois élèves qui travailleront en langues des signes certaines matières dont les maths, le français…


« En troisième, les professeurs ont estimé que je n’avais pas de notes assez bonnes. On voulait m’orienter vers la couture ou bien la mécanique. Ma mère a refusé ». Eric Dinée, 39 ans, est finalement devenu professeur de langue des signes (LSF). Il s’agit l’un des rares enseignants à posséder le CAPES en LSF créé en 2010 (certificat d’aptitude au professorat de l’enseignement secondaire).

Hier, il a fait sa rentrée au collège Pablo Picasso, à Bron, en tant que professeur principal d’une classe de sixième. Une classe particulière : trois élèves seulement travailleront en langues des signes les mathématiques, le français, l’histoire-géographie, l’éducation physique et sportive avec des enseignants bilingues. Ils bénéficieront, par ailleurs, de quatre heures de LSF chaque semaine.

Le parcours d’Eric Dinée témoigne aussi de la (lente) progression de la reconnaissance du handicap. « Avant, l’enseignement pour les sourds était très différent. La loi de 2005 a facilité les choses », poursuit-il en langage signé (1) Pour entrer en seconde, il est allé au lycée Jules-Renard, à Nevers, rare établissement à posséder alors une section pour les déficients auditifs. Après son bac, il a obtenu une licence de biologie et est parti enseigner à Toulouse. Là encore, une ville qui possède un temps d’avance en matière de prise en compte de la surdité.

De retour à Lyon depuis quelques années, le voici ravi de participer à l’ouverture de cette classe LSF à Bron. Cela fait longtemps que le collège, comme d’autres dans le Rhône, accueille des enfants malentendants. A cette rentrée, six autres sont d’ailleurs partiellement intégrés dans des classes ordinaires de l’établissement brondillant.

Pour l’Éducation nationale, il s’agit d’inciter les parents à scolariser leurs enfants dans un collège ordinaire. L’inspectrice d’académie adjointe, Marilyne Remer, défend cette possibilité offerte, en dépit du petit nombre d’inscrits cette année. L’initiative repose aussi sur la motivation de l’équipe du collège. Ainsi l’une des enseignantes s’est ainsi formée en bonne partie sur son temps et deniers personnels. Deux autres insistent sur leur besoin de formation complémentaire. Gérard Poirot, le principal du collège entend bien ouvrir des « clubs langue des signes » pour inciter les élèves et les professeurs à communiquer. « S’il s’agit de faire une classe LSF dans son coin, cela n’a aucun intérêt […] il s’agit d’un projet d’inclusion dans la société » insiste-t-il.

(1) Loi sur la scolarisation des enfants handicapés
Muriel Florin

Publié le 06/09/2011
http://www.leprogres.fr
2011/09/20 14:22 - BB - Version imprimable 

 Presse : L’APLS promeut cette langue depuis 1985. Savoir parler avec les mains
 Chalon-sur-Saône


La langue des signes. L’APLS promeut cette langue depuis 1985. Savoir parler avec les mains

L’association reprend ses cours début octobre, à la maison des associations, et met en place diverses actions, notamment à destination des jeunes.


L’APLS, créée en 1985, a pour but de promouvoir et faire découvrir la langue pratiquée pour communiquer par les personnes sourdes. Outre l’enseignement de la langue des signes, d’autres actions sont menées : intervention dans les écoles, collèges (avec Gisèle Guyot, l’ex-présidente), entreprises (Areva) et foyer Arcadi de Saint-Rémy.

Un « café signes » a été mis en place au café Charbon, place de l’Hôtel-de-Ville. L’association collabore avec le service handicap de la mairie de Chalon, et participe à la mise en place du projet « Réseau sourds santé Bourgogne ».

Des actions sont en cours, avec création d’un cours d’initiation pour des jeunes de 8 à 12 ans, projet dans le cadre d’activités sportives et contacts envisagés avec l’école d’infirmières.

Les personnes qui enseignent de façon officielle la langue des signes sont sourdes ou malentendantes, les emplois leur sont réservés. Solange Mora loue « les compétences de Régis » qui enseigne à Chalon. « Il est extraordinaire. Ses élèves ne tarissent pas d’éloges le concernant », ajoute-t-elle.

La présidente, Dominique Bachelet, qui connaît bien le handicap, « apporte dynamisme et gaieté ».

Solange et Guy, grands-parents de l’adorable Achille, atteint de surdité, scolarisé à l’école Louis-Lechère, pratiquent la langue des signes pour communiquer avec lui. « Sourd n’empêche pas d’être coquin », dit Solange, en souriant. « Le handicap d’Achille nous a fait découvrir un monde que l’on ne connaissait pas, une vraie richesse. La langue est très ludique et drôle, un peu secrète ! »

Solange, avec l’aide des enseignants, donne une initiation de la langue des signes aux élèves d’école maternelle.

Il est plus facile pour un entendant d’apprendre à signer que pour un sourd d’apprendre à parler.

Reprise des cours le 5 octobre pour le niveau 1, le 3 octobre niveau 2, le 4 octobre niveau 3, de 18 à 20 heures à la maison des associations, rue Saint-Georges.

apls.lsf@laposte.net Tél. : 03.85.48.05.81


le 09/09/2011 à 05:00 par Jocelyne Durand (CLP)
http://www.lejsl.com
2011/09/15 15:22 - BB - Version imprimable 

 Presse : Enfants précoces : l'association fait sa rentrée
 Albi. Enfants précoces : l'association fait sa rentrée

L'Association pour enfants précoces (AEP81) a reprend ses activités depuis le 7 septembre de 10h à 11h30 pour les inscriptions aux ateliers (dès 3 ans), le 10, l'AEP81 sera présente à la Journée des Associations, au Vigan, et la première table ronde de la saison aura lieu le 17 de 14h30 à 17h.

Pour la journée de la langue des signes, l'AEP81 propose un atelier de découverte pour adultes, le samedi 24 de 14h30 à 17h. Les personnes intéressées peuvent s'inscrire dès à présent.

L'AEP81 d'Albi œuvre à la reconnaissance des enfants intellectuellement précoces ; ils ont une vitesse de compréhension et un apprentissage rapide, une émotivité exacerbée, une grande curiosité intellectuelle. Certains renoncent à leur personnalité, la moitié redouble et 20 % d'entre eux arrêtent leurs études avant le bac.

Pour prévenir leur échec scolaire la nouvelle étape de l'AEP81 est de proposer à l'enfant en souffrance une structure adaptée, non élitiste, avec une pédagogie individuelle éprouvée qui le replace dans une dynamique de réussite.

Face à la souffrance et au mal être de ces enfants, les familles s'interrogent. Faire le choix d'une école différente et sortir du système classique est souvent une décision dure à prendre pour les parents. La douance ne doit pas devenir un handicap, il faut savoir utiliser le potentiel de chaque enfant pour lui permettre de trouver sa place au sein d'un groupe.

Des chances de réussite sont données aux enfants en difficulté grâce à un enseignement adapté. Alors pourquoi ne pas permettre aux enfants doués de ne pas échouer ?

Rens : aep81@sfr.fr 05 81 27 66 33 www.aep81.fr

http://www.ladepeche.fr
2011/09/15 15:20 - BB - Version imprimable 

 Presse : Au lycée, ils ont option langue des signes
 Au lycée, ils ont option langue des signes

Hier matin, au lycée d'Avesnières, quinze élèves de seconde ont suivi leur premier cours de languedes signes. Une nouvelle option intégrée dans leur cursus.
Reportage

La salle C111 du lycée d'Avesnières n'a sûrement jamais été transformée de la sorte. À peine entrés, les élèves sont déjà au travail : il faut pousser les tables, et installer les chaises en rond. Il ne s'agit pas d'un cours de théâtre, mais bien d'un cours de langue. Depuis cette année, quinze élèves de seconde ont choisi l'option « langue des signes », avec deux heures de cours par semaine.

« Je vous présente votre enseignante, Mme Bordin, annonce au début du cours le directeur, Patrick Galloux. Elle est elle-même sourde et muette et ne vous parlera qu'en langue des signes. Mais c'est aussi ce que font certains autres professeurs de langues. » Pour ce premier cours, les élèves ont eu exceptionnellement droit à une traductrice. La leçon se poursuit avec les présentations. « Je m'appelle Bernadette, signe la professeure. En langue des signes c'est « souriante », car je souris beaucoup, explique-t-elle en mimant un sourire avec ses doigts. Les sourds et muets ont tous un nom signé, je vous en donnerai un à chacun, au cours de l'année. »

Pour le moment, il est question d'apprendre les bases. La leçon est ludique, l'ambiance est détendue mais la classe reste très silencieuse. « Je vais vous demander de ne pas faire de bruit, explique la professeure. Quand on parle, on peut faire plusieurs choses en même temps. Quand on signe il faut être très concentré et attentif. »

Presque du théâtre

Très vite, la traductrice est priée, elle aussi, de se taire. Bernadette Bordin enchaîne les signes : « Bonjour » ; « comment ça va ? » ; « je suis fatiguée ». Ses quinze élèves la regardent, éberlués. « Compris ? » leur lance-t-elle en faisant tourner ses doigts à hauteur de son front. Puis, place à la pratique. Tout le monde se lève et doit engager une brève conversation avec son voisin. « L'expression, c'est ce qu'il y a de plus difficile, confie Bernadette Bordin. Quand un entendant parle, c'est simple et naturel. Avec les signes, il faut mimer, s'ouvrir, faire exprimer son corps. C'est presque du théâtre. »

Pour les élèves, c'est une totale découverte. Seuls deux avaient déjà eu des contacts avec des sourds, et connaissaient quelques signes. « Moi, la langue des signes me fascine depuis toute petite, confie une lycéenne. Je vais beaucoup sur Internet, voir des signes. » Une de ses camarades ajoute : « Je veux travailler dans la santé, donc je pense que ça pourrait être utile d'apprendre cette langue. »

Au bout d'une heure de cours, la sonnerie retentit. Les élèves n'osent pas bouger. Voyant devant elle les regards interloqués, elle explique, par la voix de sa traductrice : « Je n'entends pas la sonnerie, si ça sonne, vous me le dites avec ce signe. » Les élèves répètent. « C'est vrai ? », demande Bernadette Bordin. « Oui », lui confient les élèves. Visiblement, ni eux ni leur professeure n'avaient vu l'heure passée.

Aline BRILLU. Ouest-France
http://www.laval.maville.com
2011/09/15 15:05 - BB - Version imprimable 

 Presse : Au lycée d’Avesnières à Laval (Mayenne), 15 élèves suivent l’option langue des signes
 Au lycée d’Avesnières à Laval (Mayenne), 15 élèves suivent l’option langue des signes

Ce mercredi matin, quinze lycéens du lycée privé d’Avesnières de Laval (Mayenne) ont suivi leur premier cours de langue des signes. Une option qui est désormais intégrée à leur cursus. Pour eux, c’est une totale découverte. Seuls deux avaient déjà eu contact avec des sourds, et connaissaient quelques signes.

« La langue des signes me fascine depuis toute petite, confie une lycéenne. Je vais beaucoup sur Internet, voir des signes. » Une de ses camarades ajoute : « Je veux travailler dans la santé, donc je pense que ça pourrait être utile d’apprendre cette langue. »

Éducation mercredi 07 septembre 2011
http://www.ouest-france.fr
2011/09/15 15:00 - BB - Version imprimable 

 Presse : Maison des sourds : l'unanimité
 Bordeaux
Maison des sourds : l'unanimité

3 000 personnes sont favorables à la création d'un centre de ressources pour sourds.

Les anciens bâtiments de l'institution des sourdes et muettes qui ont abrité durant de nombreuses années l'hôtel de police de Bordeaux vont être officiellement mis en vente cet automne. Classés au titre des monuments historiques, ils ne seront pas détruits. Ils seront restaurés pour abriter des logements, bureaux et salles de réunion. Ils abriteront vraisemblablement aussi un lieu de rencontres pour sourds, pour perpétuer l'histoire du site.

Le fruit de l'action menée par l'Association de sauvegarde des bâtiments de l'ancienne institution. De crainte que ce projet ne figure pas au cahier des charges imposé au futur propriétaire des lieux, l'association a fait récemment circuler une pétition qu'elle a mise en ligne sur Internet. 3000 personnes ont répondu ! Quelque 400 Bordelais, des gens de la France entière et même de l'étranger. Des Allemands, Chiliens, Brésiliens, Belges, Québécois, Maliens, Italiens…

Tous pensent que l'ex commissariat doit abriter un centre de ressources pour sourds sur un espace d'au moins 400 mètres carrés. Si possible dans la partie principale du bâtiment qui portent encore, sur la façade, le langage des signes. Cette pétition a été envoyée au préfet Stefanini et au maire Alain Juppé. La Ville a déjà donné un avis favorable. Hier, la préfecture a confirmé que le projet a depuis longtemps retenu son attention et figurera dans le cahier des charges en cours d'écriture et qui devrait être arrêté en septembre.

J.-P. V.
http://www.sudouest.fr
2011/09/15 14:54 - BB - Version imprimable 

 Presse : Des ateliers pour tous dans les maisons d'activités
 Des ateliers pour tous dans les maisons d'activités

Les maisons d'activités de Saint-Sauveur, du Pont-Féron et de Saint-Michel proposent un programme riche en sorties, projets, spectacles et ateliers.
Accessibles à tous

Soutenues par la communauté d'agglomération du Pays de Flers (CAPF), les maisons d'activités Emile Halbout (quartier Saint-Sauveur), Jules Verne (Pont-Féron) et Saint-Michel (quartier Saint-Michel) travaillent ensemble « pour proposer de plus en plus d'activité, explique Ahmed Raïche, responsable de la maison Emile-Halbout. Elles sont ouvertes à tous les habitants de la CAPF, sans condition d'âge. L'adhésion qui commence à 5 € par famille n'est pas obligatoire. On peut venir juste pour dialoguer, échanger, donner ses idées ».

Nouveautés

Un atelier création de lampes à partir de produits de recyclage est mis en place. Celui des arts floraux déjà existant ne sera plus dirigé par un professionnel. Il fonctionnera en autonomie. Dans le cadre de la semaine du goût, « Flers croque la mer » proposera pour la 1re fois un atelier écriture sur les odeurs, le savoir. Langues et cultures partira à la découverte de l'Hindi, de l'Arabe et de la langue des signes. Le Temps de la Diversité se déroulera du 14 au 18 novembre.

Portes ouvertes

Elles se dérouleront le samedi 17 septembre de 14 h à 17 h dans les trois maisons d'activités (mise en place de navettes gratuites). Au programme : démonstration d'ateliers manuels, présentation des différentes équipes et des différents partenaires. L'occasion pour les adhérents de reprendre leur adhésion.

Sorties

Mercredi 21 septembre de 10 h à 18 h : sortie à la foire de Caen. Jeudi 29 septembre de 9 h à 19 h : sortie pêche à pied (activité Saint-Michel). Vendredi 21 octobre : sortie au marché de Caen et visite d'une ferme ostréicole à Grandcamp-Maisy.

Repas

Vendredi 30 septembre, un repas africain est organisé à Emile-Halbout sur réservation. Prix : 6 € (adultes), 4 € (enfants de moins de 12 ans) et 2 € à partir du 3e enfant.
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mercredi 07 septembre 2011
http://www.ouest-france.f
2011/09/15 14:52 - BB - Version imprimable 

 Presse : À qui appartient ce rêve?
 À qui appartient ce rêve?

Si les rêves sont des échos déformés de nos journées, comment expliquer que des handicapés rêvent de choses qu’ils n’ont jamais été capables de faire?
© Iuliia Savelieva | Dreamstime.com

Des sourds-muets de naissance qui rêvent qu’ils chantent, ou des paraplégiques qui marchent sur une plage.

Des psychologues commencent à peine à rassembler de tels témoignages, que déjà, ils remettent en question la vision traditionnelle de la façon dont les rêves se forgent dans notre cerveau: 80 % des récits nocturnes des participants sourds ne donnent en effet aucun indice de leur handicap. Des gens paralysés aux jambes, incluant des gens nés avec ce handicap, semblent rêver d’une marche aussi souvent que les autres.

Ces recherches sont encore préliminaires, mais si elles devaient se confirmer, elles signifieraient que nos rêves ne sont pas seulement un «rebrassage» de nos expériences de la journée. Ils naîtraient aussi de représentations de nos cinq sens inscrites dans notre cerveau au cours des derniers millions d’années.


Agence Science-Presse, le 6 septembre 2011
http://www.sciencepresse.qc.ca
2011/09/15 14:50 - BB - Version imprimable 

 Presse : Bravo Fabien !
 Finale régionale de labours
Bravo Fabien !
             

A quelques centaines de mètres des vrombissements du tracteur-pulling ou du 4 L Cross, un homme trace son sillon, doucement, sûrement. La raie d'ouverture est impeccable. Derrière ses lunettes fumées, Fabien Angot, le concurrent du Calvados est seul. Seul avec lui-même en ce dimanche de Festival de la Terre, se déroulant dans le sud-Manche. Les flonflons de la fête, il ne les entendra pas, de même que les applaudissements de la victoire. Ce jeune agriculteur du Calvados, sourd-muet, a donné une formidable leçon d'humilité à tous en effectuant un sans-faute sur un terrain rendu difficile par la pluie. Fabien, le meilleur de tous en terrain normand, représentera la région à la prochaine finale nationale, en terre alsacienne.
Fabien Angot, vainqueur de la finale régionale de labours (au centre) a effectué un parcours sans faute avec 220,5 points.

Cette fête de la terre haylandaise (non loin d'Avranches) aura connu bien des surprises. Une mauvaise tout d'abord, la pluie qui, dès le matin, a donné des sueurs froides aux organisateurs. La messe des laboureurs a tout de même eu lieu, vaille que vaille. Alors que voitures et camions amenant les animaux du concours d'arrondissement s'enlisaient, malgré la paille, la bonne nouvelle arrivait sous la forme d'une timide soleil. Place à la fête ! Tracteurs-pullings, 4 L cross, tonte de moutons, démonstrations de quads et bien sûr finales régionale et départementale de labours ont finalement attiré environ 9000 personnes.


Si Fabien Angot a donc vaillamment gagné la "régionale", l'autre héros du jour venait de l'Orne. Sylvain Ghyslen, l'un des participants à l'émission de télé-réalité "L'amour est dans le pré", pour le moins sympathique, a fait hurler ses fans. Sylvain a cependant eu du mal avec sa parcelle, en raison de pierres et de racines, dues sans doute à l'implantation d'une ancienne haie sur son parcours. Il finit 4è ex-aequo avec le manchois Jean-Baptiste Nove, derrière un autre manchois, Romain Lebehot. Nicolas Delaunay, deuxième concurrent ornais, termine second.

http://www.agriculteur-normand.com
2011/09/14 15:08 - BB - Version imprimable 

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