Rouen organise une séance du film "La Guerre est déclarée" pour les personnes sourdes et malentendantes habitant à Rouen et autour de Rouen en Normandie. CinéST salue l'initiative de Rouen et espère que d'autres villes suivront.
Le Cinéma Pathé Dock 76 de Rouen projette "La Guerre est déclarée" en version française sous-titrée le samedi 17 septembre à 18h.
Diffusez cette information autour de vous et informez vos amis habitant à Rouen et en Normandie pour qu'ils puissent assister à cette séance. Il est important d'assister aux séances afin d'encourager l'accessibilité des films français au cinéma !
Après les Maternelles et le Baby karaté, nous sommes passés le 1er mars au Journal de 20h00 sur France 2.
Je vous donne le lien (attention sur les mac évitez safari et préférez Chrome) : 22h07 (minutage)
http://www.pluzz.fr/jt-20h-2011-03-01-20h00.html
Merci à tout le super groupe du lundi matin et nos stars Marielle, Camille, Jean-Pierre, Alain, Robert...et aussi Elizabeth, Annie, Christiane, Mireille, Gérard, Pierre, Françoise, Chantal...
C'était un excellent moment, je suis très fier de vous et j'ai beaucoup de chance de vous avoir comme élèves !!
Bon JT !!!
En avant première : Nous ouvrirons une salle avec plein de nouvelles disciplines à la rentrée prochaine en plein coeur du 15ème (Métro Convention)
Pour un prochain film, L’œil et la main s’intéresse aux couples qui ne vivent pas ensemble, et ce, pour deux raisons :
par contrainte : vous aimez votre partenaire, mais pour des raisons de professionnelles, familiales, ou pour vivre votre passion, vous devez vivre votre relation à distance.
par choix : vous aimez votre partenaire et êtes heureux(se) avec lui, mais avez fait le choix de ne pas vivre ensemble, même si vous êtes dans la même ville. Les raisons peuvent être diverses.
Vous vivez ces situations et avez envie de témoigner ? Contactez L’œil et la Main : h.hugounenq@pointdujour.fr !
2 - Situation de précarité chez les personnes sourdes
Depuis la crise en France, la situation économique est devenue de plus en plus difficile : coût de la vie quotidienne qui augmente, logements chers…
On voit souvent à la télévision ou dans les journaux des entendants qui témoignent de leurs vies.
Et les sourds dans tout ça, où sont-ils ? Vous avez envie de témoigner d’une situation d’un ami à vous, ou encore vous avez vécu vous-même des situations difficiles ? Venez témoignez à l’œil et la Main !
Dans le monde d’aujourd’hui, où l’on doit suivre les normes, entrer dans le jeu de la consommation, du commerce, il y a de plus en en plus de personnes qui cherchent une alternative : consommation équitable, biologique, vie en communauté, actions militantes.
Pour cet appel à témoignages, L’œil et la main recherche des parents, hommes ou femmes, qui ont fait le choix de quitter le monde du travail et de se consacrer à leur vie de famille.
S’occuper des enfants, gérer la maison, passer du temps en famille, tel est leur choix de vie.
Homme, femme au foyer, vous souhaitez témoigner ? Contactez l’œil et la main !
ENSEMBLE, NOUS ALLONS VIVRE UNE TRES, TRES GRANDE HISTOIRE D'AMOUR
Aimer à perdre la raison : coup de foudre assuré
Pascal Thomas abandonne le cycle qu'il consacre depuis quelque temps à Agatha Christie pour un pur divertissement avec lequel il a gardé le même ton humoristique, ce décalage cocasse qui caractérise dorénavant son style. Avec Ensemble, nous allons vivre une très, très grande histoire d'amour…, il aborde un des thèmes cinématographiques majeurs qu'il décline sous toutes ses formes.
L'histoire débute ainsi par la naissance du sentiment amoureux traitée de manière très naïve, presque mièvre, à l'eau de rose, avant de virer complètement vers le polar quand les amants tentent d'éliminer le mari gênant. Conçue comme un conte, l'intrigue évoque avec drôlerie les facéties du hasard qui perturbent les belles résolutions sentimentales. Entre Dorothée et Nicolas, c'est le coup de foudre. Ensemble, ils vont vivre une très, très grande histoire d'amour… Ils en sont sûrs, certains. Mais la vie s'ingénie toujours à contrarier les meilleures résolutions, le plus parfait des scénarios et rien ne va se passer comme prévu. De malentendus en disputes, de serments en trahisons, de vrais départs en fausses retrouvailles, et inversement, ils vont être entraînés dans le tourbillon d'une comédie aussi tourmentée que leur passion…
S'il aime le mélange des genres, le réalisateur garde, tout le temps, le cap de la comédie qu'il explore sous toutes ses facettes jusqu'à la satire sociale assez cinglante de la bourgeoisie ou des scènes très burlesques qui font référence au cinéma muet. Sur une musique guillerette, il s'amuse des clichés que véhicule un tel sujet.
Pour sa deuxième prestation au cinéma, le chanteur Julien Doré témoigne de tout son talent. Avec son accent du midi, son innocence lunaire et la fraîcheur de son jeu, il s'impose avec éclat dans le registre du jeune premier en rappelant le Francis Huster de L'histoire très bonne et très joyeuse de Colinot trousse-chemise ou plus globalement la fantaisie d'un Gérard Philipe.
L'acteur forme un très joli couple plein d'ingénuité avec Marina Hands, savoureuse dans un répertoire comique avec lequel elle s'est jusqu'à présent peu exprimée. En époux sourd et muet, Guillaume Gallienne signe un sacré numéro de mime avec une poésie et une légèreté au
diapason de cette réalisation enlevée.
Tous les seconds rôles, même les plus infimes, ont été aussi soignés, jusqu'à la présence de Bernard Ménez, le mythique interprète du cinéaste dans Les zozos, premier film de Pascal Thomas. Quant au dernier, il suscite un coup de foudre.
Comédie de Pascal Thomas (1 h 39) avec Julien Doré, Marina Hands et Guillaume Gallienne.
À l'affiche au Ciné-City à Troyes.
Déjeuner (wiener schnitzel et kartoffelsalad, léger quoi) avec un ami vendeur de films. Il est un peu épuisé par une petite semaine de Berlinale. Il est spécialisé dans le film d'auteur plutôt pointu, celui qui se rentabilise (vaguement) en se vendant partout, mais à des prix ultra-serrés. Mais le business est dur : pour arriver au même montant de vente (et donc de commission pour sa boîte), il faut se démener deux fois plus. Comme si la curiosité des distributeurs, et à travers eux celle du public international, était un peu émoussée. « C'est le cinéma d'auteur qui est moins bon, s'interroge-t-il à voix haute, ou moi qui suis blasé ? » Le goût qui change, peut-être, celui du public comme celui des éclaireurs que nous sommes, lui et moi. « Le cinéma d'auteur a un ennemi, ajouté-je, la répétition. Reproduire les mêmes films à l'infini, avec les mêmes tics stylistiques ou narratifs, ce n'est pas l'apanage du blockbuster décervelé... » De fait, rien de pire qu'un film qui, dès son commencement, part sur des chemins balisés et nous emmène exactement là où, dès la première image, on savait qu'il allait nous conduire. On liste les films de la compétition, soupèse au jugé leur potentiel commercial. Pas bézef. Un festival doit veiller à ne jamais trop se couper du marché...
Qui distribuera en France Caterpillar, par exemple ? Pas gagné. Et pourtant le film du vétéran japonais (73 ans) Kôji Wakamatsu (récemment remis en selle par l'imposant United Red Army, sur l'extrême-gauche nippone) est l'une des œuvres les plus frappantes de la Berlinale, un candidat sérieux à l'Ours d'or. C'est aussi un film qui ne ressemble à aucun autre, ne capitalise sur aucune tendance de l'auteurisme contemporain : le fruit d'un chemin solitaire et entêté. Le pitch est glaçant. Un officier japonais revient chez sa femme, en pleine Seconde Guerre mondiale, démobilisé à cause de ses blessures : il est sourd, muet, amputé des deux jambes et des deux bras. A part ça ? Il bande comme un âne, et l'épouse terrifiée va s'en rendre compte très vite... Tourné en douze jours (!), le film est quasi un huis clos – on ne sort de la maison que pour promener l'homme-tronc en charrette à travers le village, qui l'honore comme un héros, le « dieu de la Guerre ». Deux visions se complètent. Il y a une première lecture psychologique – ou comment la femme va enfin prendre le dessus dans le couple. Et une lecture plus métaphorique – ce corps monstrueux, démembré, c'est le Japon tout entier, avant et après la défaite.... Caterpillar (« la chenille ») est éprouvant à regarder (ni plus ni moins que Freaks), saisissant, poignant, bourré d'idées de cinéma – un jeu de surimpressions évoque Vincere. C'est l'un des chocs du festival.
Le 18 février 2010 à 14h00 - Mis à jour le 18 février 2010 à 15h05
http://www.telerama.fr
Point du jour et le Réseau « Sourds & Santé »
Vous invite à l’avant-première
Du film 'Sourds et malentendus'
De Sandrine Herman et Igor Ochronowicz
Jeudi 12 Février 2009
A 20 heures
(Entrée gratuite)
Le film sera suivi d’un débat bilingue français-Langue des Signes Française, avec la participation des auteurs
SALLE des ACTES
Université Catholique de Lille
60 boulevard Vauban - 59000 Lille
Bus : Citadine des Boulevards (arrêt Université Catholique de Lille)
Métro ligne 2 : station Cormontaigne (à 5 minutes)
Plan d’accès http://www.univ-catholille.fr/decouverte/plan-acces.asp
Diffusion prochainement sur France 5
Sourds et malentendus
Documentaire/fiction de 70’
Proposé par Sandrine Herman et Igor Ochronowicz
Réalisation Igor Ochronowicz
Une femme de trente ans pour trente ans d’histoire
Etre sourd, ce n’est pas simplement ne pas entendre…
Mais savons-nous vraiment qui sont les sourds ? Nos représentations sont diverses, mais pour les sourds les barrières de communication avec le monde entendant créent de grandes frustrations et parmi elles, un besoin énorme de dire : « qui nous sommes ».
C’est la raison pour laquelle Sandrine, sourde de naissance, a choisi de
raconter son histoire avec la volonté de nous faire partager sa vision du
monde avec un regard de l’intérieur.
En suivant son parcours de la naissance à l’âge adulte et au fil des témoignages, nous découvrons un univers où rien n’est facile pour
Sandrine : Le regard des autres, la scolarité, les apprentissages, la
rééducation, la socialisation. Tout conduit à vouloir réparer cette petite
fille, à faire en sorte qu’elle se rapproche de la norme : entendre et
parler. Et s’il y avait une autre voie possible ?
Ce film propose une rencontre avec un monde où la langue des signes est bien vivante, où la langue est porteuse d’identité, d’histoire et de
culture.
« Mais il n’y pas deux mondes », comme nous le dit Sandrine, « les sourds et les entendants peuvent vivre ensemble et s’accepter avec leur différences. »
Nous avons donc la possibilité d'organiser des séances pour les
sourds et malentendants.
Nous avons actuellement à l'affiche "Arthur", "Happy Feet" et "Eragon", 3 films disponibles avec des sous-titres français pour sourds et malentendants.
Depuis notre conversation, nous avons daté une projection de "Arthur
et les minimoys" en version anglaise avec des sous-titres français pour
sourds et malentendants.
Cette séance aura lieu le mardi 2 janvier 2007 à 20H10 (la capacité
de la salle est de 267 places).
Nous allons dater au moins une séance du film "Arthur" pendant la
semaine du 3 au 9 janvier 2007.
Pour le moment nous ne connaissons pas la date ni l'horaire.
Si vous le souhaitez, vous pouvez faire suivre ce mail aux personnes qui seraient intéressées par ce projet.
Remerciements anticipés,
Sébastien Tacquet
Cinéma casino
6 et 8 avenue du 24 Août
06600 Antibes
04.93.34.84.36
cinema.casino06@wanadoo.fr
Pour ceux qui seraient intéressés par une collection DVD entièrement destinée à un public sourd ou malentendant, je vous invite à consulter le site de notre société de sous-titrage : cinecriture et à répondre au questionnaire sur la collection DVD. C'est une petite société, et il est très difficile d'arriver à faire bouger les choses, en matière de cinéma ou de DVD... Alors, aidez-nous en nous envoyant un maximum de messages de soutien !
L'union fait la force, non ?
Le film 'Les Brigades du Tigre' est sous-titré au cinéma MK2
1907. Une vague de crimes sans précédent ensanglante la Belle Epoque. Face aux bandits d'un nouveau siècle, le Ministre de l'Intérieur Georges Clémenceau crée une force de police à leur mesure : les Brigades Mobiles. 1912. La France entière les connaît sous un autre nom : les Brigades du Tigre...
Etudiantdeparis.fr et MK2 vous offrent des invitations pour le film L’Iceberg, premier long-métrage de Fiona Gordon, Dominique Abel et Bruno Romy, issus du cirque et du théâtre. Un film burlesque qui vous entraîne dans le monde d’une manager de fast-food rêvant de voir un iceberg pour de vrai.
Une drôle de comédie belge
Fiona, manager de fast-food dans une grise banlieue, quitte mari, enfants et travail, pour voir un iceberg pour de vrai. Dans un hilarant «sea-movie», elle mettra le cap vers le grand Nord, accompagnée d’un vaillant marin sourd et muet…
Laissez-vous embarquer pour cette croisière en images…
Sur les traces de Keaton et de Tati
L’Iceberg a été écrit à six mains. Fiona Gordon, Dominique Abel et Bruno Romy, venus du milieu du théâtre et du cirque, se sont rencontrés lors d’une tournée. Au bout de trois ans d’écriture, leur complicité a donné naissance à un film atypique, à la fois conte poétique, film burlesque et chronique sur les rapports amoureux.
«Nos références lointaines sont les clowns du cinéma muet, ces artistes excentriques qui ont pu jouer sur deux axes : un cinéma populaire drôle, accessible et un cinéma d’auteur inventif et raffiné», commentent les auteurs.
Des invitations à gagner
MK2 et www.etudiantdeparis.fr vous offrent des invitations pour découvrir L’Iceberg en salles.
Pour revevoir votre invitation, il vous suffit de nous adresser votre demande par mail à contact@etudiantdeparis.fr, en nous précisant :
- Vos nom et prénom,
- Vos coordonnées postales (pour que nous puissions vous
envoyer votre invitation),
- Votre numéro INE ou BEA,
- Votre université ou établissement d'enseignement.
Bonne chance !
Pour savoir si l'Iceberg sera atteint ou pas, rendez vous en salles !
Sortie le 5 avril 2006
Dans les salles MK2 à Paris
Pour plus d'infos sur les salles MK2 et les films à l'affiche, rendez-vous sur www.mk2.com
